Vivez l'effervescence de la joaillerie
22 août 2021
Une grande partie du travail de Marion Delarue tourne autour des ornements de cheveux dont les kushis (peignes), les kanzashis (épingles) et les kogais (baguettes) de la période Edo.
04 juin 2021
Porté par le succès ses bijoux dessinés par Mucha, Georges Fouquet demande à l’artiste tchèque de concevoir sa nouvelle boutique du 6 rue Royale, en face de Maxim’s.
23 février 2020
Nouvelle mise en lumière et nouvelle scénographie donnent l’occasion de découvrir les nouvelles pièces de créateurs contemporains dans la galerie des Bijoux du Musée des Arts Décoratifs.
20 janvier 2020
Le Musée des Arts Décoratifs vient d’acheter chez Wartski un livre unique, « Les Émaux Cloisonnés Anciens et Modernes ». Juste retour des choses car la plaque en émail, incrustée dans la couverture et réalisée par le joaillier Alexis Falize, y a été exposée en 1869. On ne l’avait plus revue depuis… C’est Katherine Purcell, directrice associée de Wartski et auteur de « Falize: A Dynasty of Jewelers » qui l’a identifiée et la décrit dans cette vidéo. En allant admirer cette plaque en émail au MAD Paris (à partir d’avril dans la salle « Japonisme »), ne manquez pas d’autres pièces Falize exposées dans la galerie des Bijoux.
21 août 2019
La représentation du corps est aujourd’hui peu commune en joaillerie alors que jusqu’au 20e siècle, les figures humaines étaient omniprésentes.
04 décembre 2018
En voyant l’exposition « Fendre l’air – L’art du bambou au Japon », j’ai immédiatement repensé aux bijoux de Tina Chow.
24 septembre 2018
Tasaki est le joaillier japonais le plus célèbre de son pays. En plein développement international, il ouvre une boutique à Londres et une à Paris où il est aussi mécène de l’exposition Japon-Japonismes.
25 juin 2018
Le Musée des Arts Décoratifs à Paris possède une collection de plus de 5 000 colliers, bracelets, broches et autres bagues. Un millier d’entre eux est présenté dans les deux salles de sa galerie des Bijoux. Découvrez la avec la conservatrice en chef, Evelyne Possémé.
21 juin 2018
A lui seul, le bracelet du joaillier américain JAR (acronyme de Joël Arthur Rosenthal) mérite une visite à la galerie des Bijoux. Il est rare de pouvoir admirer l’une de ses pièces, hormis dans les ventes aux enchères. Mystérieux, JAR n’a pas de boutique et peu de clientes : il ne travaille que pour celles qu’il juge dignes de ses créations. Ce camélia en argent blanchi et en rubis (1995) est un véritable chef d’œuvre. Il mélange les matériaux sans se préoccuper de leur valeur intrinsèque et comme personne, il restitue le velouté et le mouvement imperceptible des pétales. Son désir fou de perfection l’a aujourd’hui érigé en modèle absolu pour joailliers et créateurs.
20 juin 2018
Grâce au mécénat de l’Ecole Van Cleef & Arpels, le Musée des Arts Décoratifs vient d’acquérir une bague de Gérard Sandoz de 1928. Cette dernière rejoint ainsi la galerie des Bijoux où sont exposées d’autres pièces Art déco signées Templier, Desprès ou encore Fouquet. Rappelons que la collection du Musée des Arts Décoratifs (4 000 pièces) a principalement été fondée grâce à des dons. Ceux du XVIIIème siècle proviennent en grande partie de la collection de l’orfèvre Boin-Taburet, les chaînes du chaîniste Auguste Lion. La plupart des pièces XIXème ont, elles, été données par Henri Vever, en 1924. Plus récemment JAR, Lorenz Baümer ou encore Gilles Jonemann ont eux aussi offert un de leurs bijoux.
28 mai 2018
The French Jewelry Post n’est pas seulement un site d’information : j’organise également des évènements, des visites privées, des rencontres… Dans le cadre de son partenariat avec le Musée des Arts Décoratifs, TFJP a proposé un atelier mère-fille. Après un passage dans la galerie des Bijoux pour se familiariser avec matériaux et époques, Romy, Blanche, Salomé, Anaïs, Alice, Manon… ont créé leurs propres joyaux. Moments choisis.
26 mai 2018
Le temps de l’exposition Diane Venet, la boutique du Musée des Arts Décoratifs propose six bijoux d’artiste édités par miniMASTERPIECE, la galerie d’Esther de Beaucé. La plupart sont signés par des sculpteurs, plasticiens présentés dans l’exposition comme Carlos Cruz Diez, Claude Lévêque, Jean-Luc Moulène ou Laurent Baude. Tous sont des éditions limitées de 30 exemplaires, voire de 5, et accessibles à partir de 220 euros.
23 mai 2018
L’exposition « U. A. M., une aventure moderne » présente parmi toutes les œuvres d’architectes, peintres ou encore décorateurs, une vingtaine de bijoux appartenant à la collection du Musée des Arts Décoratifs. En 1929, des créateurs dont Jean Desprès, Jean Fouquet, Gérard Sandoz et Raymond Templier adhèrent eux aussi à l’U. A. M. (Union des Artistes Modernes). Ils veulent aller vite, changer le monde et créer du neuf. En rupture avec les joailliers comme Boucheron ou Cartier, ces inventeurs du bijou moderne bannissent l’ornement inutile. Ils simplifient les lignes, s’inspirent de la machine, de la vitesse, des pièces mécaniques comme les écrous, boulons et roulement à billes. Pour créer des bijoux plus accessibles, ils utilisent des pierres moins coûteuses comme la citrine, l’améthyste ou la laque. Pourtant les joailliers ne vont réussir à toucher que des amateurs et une élite dont faisait partie le maharadja d’Indore. L’U. A. M. s’arrête en 1958.
« U. A. M., une aventure moderne », du 30 mai au 27 août 2018 au Centre Pompidou
À lire : « Raymond Templier – Le bijou moderne » de Laurence Mouillefarine et Véronique Ristelhueber, Éditions Norma, 2005.
19 avril 2018
Après « La Faune » et « La Flore », le livre « Figures » (réalisé avec le soutien de l’école des Arts Joailliers) clôt le triptyque consacré aux collections de la galerie des Bijoux du Musée des Arts Décoratifs. Au fil des pages, apparaissent les femmes-insectes de René Lalique, Vénus faisant sa toilette, les portraits du duc de Montebello avec ses enfants gravés sur des coquillages, des têtes de mort ou encore des mains jointes formant un anneau. Ces figures humaines ont des significations multiples, tour à tour symboles d’amour, signes d’appartenance politique, représentations de vanité ou de dévotion comme le Christ gravé sur les boules de buis d’un chapelet. Les pièces plus récentes comme le clip-ballerine de Van Cleef & Arpels ou le collier-bouche de Claude Lalanne sont, elles, purement esthétiques. Autant de rencontres passionnantes.
16 avril 2018
Le nom d’Henri Vever a été éclipsé par celui de René Lalique. Et pourtant ce joaillier parisien est un acteur majeur de l’Art nouveau.
11 avril 2018
L’Australie, ce pays qui nous semble très lointain et dont la densité de population est l’une des plus faibles du globe, suscite l’engouement chez les joailliers.
28 mars 2018
En osmose parfaite avec l’anatomie, le « Styloïde » crée en 1999 par Lise Vanrycke vient d’entrer dans la collection de la galerie des Bijoux au Musée des Arts Décoratifs. Ce bracelet à maillons, développé pendant 3 ans avec un horloger, porte le nom du petit os pointu placé sur le côté du poignet qu’il met en lumière. Extensible, complètement body conscious, il s’inscrit dans la lignée du bracelet « Bone », moulé sur le poignet dans les années 70 par Elsa Peretti pour Tiffany&Co.
25 mars 2018
Le Palais Galliera et le Musée des Arts Décoratifs organisent chacun une exposition consacrée à Martin Margiela : l’une sur sa maison, l’autre sur ses années chez Hermès. L’occasion de découvrir ses bijoux, aussi conceptuels que ses vêtements.
01 mars 2018
L’exposition présente cinq bijoux du peintre français, l’un des fondateurs du cubisme. En 1961, octogénaire, Georges Braque demande au joaillier et lapidaire Heger de Löwenfeld de transformer une série de ses gouaches sur le thème de la mythologie grecque. « Trouver la vérité de l’objet et non représenter l’objet. Prouver son existence et non s’arrêter à sa ressemblance », disait l’artiste pour expliquer sa démarche. Deux des bijoux présentés appartiennent à la collection Diane Venet, deux autres au Musée des Arts Décoratifs qui, dès 1963, à la demande d’André Malraux, leur avait consacré une exposition : « bijoux de Braque ».
« Bijoux d’artistes, de Calder à Koons – La collection idéale de Diane Venet » au Musée des Arts Décoratifs, du 7 mars au 8 juillet 2018
Image : Georges Braque et Heger de Löwenfeld
26 février 2018
Une violente polémique remet en question l’installation, entre le Musée d’Art moderne et le Palais de Tokyo, du « Bouquet de Tulipes ». Dans le cadre de l’exposition, le Musée des Arts Décoratifs accueille, lui, une oeuvre de Jeff Koons qui n’a fait l’objet d’aucune contestation, ni pétition: le pendentif Lapin en platine réalisé pour la créatrice de mode Stella McCartney. Haut de 7,5 centimètres (contre 12 mètres pour le « Bouquet de Tulipes »), ce bijou représente l’esprit kitschissime de l’artiste américain.
» Bijoux d’artistes, de Calder à Koons – La collection idéale de Diane Venet » au Musée des Arts Décoratifs, du 7 mars au 8 juillet 2018
Pendentif Lapin, 2005-2009 – Éditions Jeff Koons pour Stella McCartney – Collection Diane Venet
08 février 2018
Des bijoux de Picasso à ceux de Ai Weiwei, l’exposition réalisée avec la collection personnelle de Diane Venet enrichie de prêts exceptionnels, met en lumière une histoire de l’art plus intime.
07 février 2018
Il y en a mille… Mais dans un premier temps, voici mes œuvres et mes salles préférées pour partir à la découverte du Musée des Arts Décoratifs, ce musée « fou d’objets ».
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