19 février 2018
Les dessins préparatoires exposés par Dael&Grau, joaillier du nord de la France, ont été réalisés entre 1900 et 1960. Découverts dans des cartons à l’occasion d’un déménagement, la plupart sont des gouachés sur calques, papier Canson ou rhodoïd. « Cette technique est propre à la joaillerie, explique Sylvette Botella-Gaudichon commissaire de l’exposition. Le textile par exemple, préfère la craie ou le crayon de couleur. » La gouache a cette texture crémeuse permettant de tirer le trait avec une extrême précision car rappelons-le, ces dessins à l’échelle 1:1 servent avant tout à guider la réalisation du bijou.
« Gouachés, un art unique et ignoré » jusqu’au 1er avril 2018 à La Piscine, Roubaix
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...