04 septembre 2017
La maison autrichienne, spécialiste du cristal taillé et dont le fondateur Daniel Swarovski déclarait que « les diamants sont pour les royautés, moi je veux un diamant pour chaque femme », écrit une suite logique de son histoire : elle imagine une collection en diamant de synthèse. Réalisé dans une machine sous haute pression, ce diamant présente la même composition chimique et les mêmes caractéristiques que celui formé il y a des milliards d’années dans les entrailles de la terre. Son prix, 30% moins élevé, et son caractère éthique auront-ils raison de la pierre naturelle, considérée comme un miracle de la nature ?
Daniel Brush à l’École des Arts Joailliers
L’épée d’académicien de Jean Vendome dans l’exposition « Medusa »
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...