26 juillet 2017
Le premier date du XIXe siècle et appartient à la collection Émile Hermès. En cuir patiné et recouvert d’une plaque d’identité en maillechort il fait écho au second, présenté quelques mètres plus loin. En diamants, signé Cartier, il date de 1906 et se porte, comme le fait la chanteuse Rihanna en couverture du magazine W, haut sur le cou et très ajusté. Le troisième est signé Line Vautrin, artiste connue pour ses objets et ses bijoux facétieux ponctués de jeux de mots et formés par des rébus. En bronze doré, il est formé par une succession de chiens qui se tiennent par la queue.
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...