Le 23 janvier prochain, L’École des Arts Joailliers explore un âge d’or du bijou : la Renaissance.

Par Sandrine Merle.

De la magnificence de la Renaissance

Les portraits d’Éléonore de Tolède, « La Dame à sa Toilette » ou « Le portrait d’une jeune femme » parée d’un camée et de rangs de perles entremêlés dans sa longue chevelure en témoigne. Tout comme le rapport de l’ambassadeur de Venise revenant d’Angleterre lorsqu’il évoque Henri VIII dont « les doigts n’étaient qu’une masse de bagues serties de pierreries ».

À la Renaissance, une révolution dans le bijou

Au 15e et 16^e siècles, les grands centres comme Florence, Paris, Rome rivalisent de créativité grâce à un afflux sans précédent de matières premières. Émeraudes, perles baroques, cristal de roche… sont acheminées par les nouvelles routes commerciales d’Orient ou du Nouveau Monde. De nouvelles techniques révolutionnent également le bijou en matière de sertissage et de taille.

En savoir plus sur la Renaissance

Et parmi les orfèvres, y a-t-il eu l’équivalent d’un Botticelli ou d’un Michel-Ange ? Quelles ont été leurs grandes sources d’inspiration ? Pourquoi l’époque s’est-elle autant enthousiasmée pour l’Antiquité ? Avec le camée et la salamandre, quels étaient les motifs les plus utilisés ? Le bijou n’était-il qu’une parure ? Hormis les Médicis à Florence, qui étaient les grands mécènes ?

Vivement le 23 janvier ! De 20:00 à 22:00, Michèle Bimbenet-Privat Conservateur Général au département des Objets d’art au Musée du Louvre et Cécile Lugand enseignant – chercheur à L’École des Arts Joailliers nous feront vivre cette époque foisonnante.

Vous pouvez vous inscrire ici

€40 – En français