01 novembre 2022
Presque deux siècles plus tard, quatre insiders (dont Marie Berthelon CEO et Sandrine de Laage, directrice artistique) ressuscitent Léon Rouvenat qui, sous le Second Empire, a marqué l’histoire de la joaillerie (cf « Rouvenat, une mystérieuse disparition »). Sur la base de deux motifs fondamentaux puisés dans les archives (la rosace et la pampille terminée en pointe), les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat sont modernisées. Le Rouvenat du XXIe siècle n’utilise aujourd’hui que de l’or et des pierres précieuses déjà extraits. La part belle est faite au digital et à la personnalisation grâce à un configurateur exclusif très bien conçu : dans le e-shop, le client crée lui-même son bijou en choisissant sa pierre, sa chaîne, la finition de l’or, etc. Et à chaque étape, il a un aperçu du résultat. La maison intègre également la blockchain pour sécuriser chaque bijou. Rendez-vous à partir du 15 novembre au « 416 » (rue Saint Honoré) dans un lieu doté d’une grande verrière, rappelant la manufacture joaillière de Léon Rouvenat.
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...
Barrie, fameuse pour ses cachemires et Goossens connue pour ses bijoux couture dorés de style antique ont croisé leurs savoir-faire.