14 septembre 2021
Gaia Repossi, directrice artistique de la marque fondée par son père (aujourd’hui propriété de LVMH), a imaginé une collection de bijoux inspirée de l’univers de Robert Mapplethorpe. C’est d’ailleurs avec une œuvre de ce dernier (Puerto Rico 1981) qu’elle a initié sa collection personnelle de photos. À partir des archives de la fondation Robert Mapplethorpe et du Getty Research Institute, elle a créé des pièces d’après ceux portés par le photographe comme le collier multi-chaînes en diamants. D’autres sont des interprétations à partir d’éléments présents dans ses photos et ses collages. Parmi mes préférés figurent la bague en or noir et jaune dont la forme qui s’étale sur deux doigts reprend le drapeau américain dans lequel Lisa Lyon est enveloppée sur photo de 1982 et le collier orné d’une pince de homard (récurrente chez Mapplethorpe). Dans ce type de « collaboration post-mortem », je me demande toujours ce qu’aurait pensé le principal intéressé. Lui qui faisait des bijoux de bric et de broc pour lui et ses amis…
Lancés en mai dernier, ils seront à Paris à partir de fin septembre.
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...