07 juillet 2017
Une simple feuille de polyéthylène découpée se transforme en un collier, un bracelet et une bague. « En dissimulant une parure, cet objet instaurait un dialogue entre bijou et art », explique la créatrice Carole Guinard qui l’a créé en 1987, pour la première Biennale du bijou à Paris. « Son design ultra épuré donnait une réponse simple aux questions ambiguës du multiple, de la reproduction à l’infini, de la copie qui n’a pas d’original. » Ce qui reste du stock de 1987 est aujourd’hui vendu 25 euros à la librairie du musée des Arts décoratifs. Un super collector.
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...