10 février 2020
Maiko Takeda se concentre essentiellement sur des parures de tête, entre masque, auréole et visière. Cette créatrice japonaise basée à Londres les réalise en plumes découpées au laser dans du film plastique ou de l’acrylique. Les dégradés de couleurs accentuent la transparence, les jeux d’ombre et de lumière. Ces parures de tête oscillent entre la fleur de pissenlit qui va disparaître à la moindre brise et le casque hérissé de terminaisons nerveuses destiné à quelque expérience neuro-scientifique. Justement, Maiko Takeda est passionnée de sciences et adore la musique minimale, répétitive, obsessionnelle de Philip Glass.
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...