06 septembre 2017
Réservez d’ores et déjà une visite à cette exposition exceptionnelle, la première en France de l’artiste américain. Connu, son bracelet-lapin en bakélite est loin d’être le plus représentatif de son travail polymorphe… L’École a choisi de présenter deux séries de bijoux en acier parfois serti de pierres : des colliers de chien ayant donné naissance au livre Necks et des manchettes. Pour aider à comprendre le travail exceptionnel de cet artiste excentrique, hors-système, sans agent et sans galerie qui produit si peu de pièces, l’École va également présenter sculptures, objets et peintures. Tous disent le caractère sans concession, obsessionnel : la boîte dont il a façonné chacune des milliers de billes en or comme les peintures de 1m x 1m50 non pas formées par des coups de brosse géante mais par des milliers et des milliers de lignes tracées à la plume. Ce qui explique l’extrême rareté de ses pièces considérées comme des œuvres d’art par musées et collectionneurs.
Du 13 au 31 octobre 2017, du lundi au samedi 14h-19h – L’École des Arts Joailliers – 31, rue Danielle Casanova 75001 Paris.
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...