06 septembre 2017
Les maisons de la place Vendôme ont déserté pour la deuxième année consécutive… À la satisfaction de certaines galeries et de quelques marchands d’art qui ne voyaient pas d’un bon œil leur succès et l’attention phénoménale que suscitaient leurs stands somptueux. Ils ont laissé la place à d’autres, des indépendants étrangers moins connus. Ils sont à l’origine des diamantaires ou des négociants en pierres comme Boghossian, Moussaieff et l’Indien Nirav Modi ou des créateurs comme la Taïwanaise Anna Hu et le Britannique Glenn Spiro. Les joailliers français vont-ils revenir l’année prochaine comme l’espère la Biennale ? Suspens.
Au-delà de l’esthétique, le designer de mode Christopher Esber croit aux vertus positives qu’auraient certains cristaux portés à même la peau.
Dans sa collection FW23, le duo créatif Botter a transformé des petites voitures colorées en bijoux.
Voici une sélection non exhaustive de pièces portant ces nouvelles valeurs de la joaillerie.
Sur le Wing Shop de Noor Fares, on peut désormais personnaliser ses boucles d’oreilles « Fly Me to the Moon ».
Le Rouvenat du XXIe siècle perpétue et modernise les valeurs positives initiées par Léon Rouvenat.
Le World Gold Council (grande instance officielle de l’or) estime que l’on a exploité, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, 205 000 tonnes...